lundi 6 août 2007

Je facebook, tu facebook, nous facebookons.

J'avoue, je me suis laissé prendre au jeu. Mais entre nous, l'idée de reprendre contact avec tous ces amis perdus, de simplement savoir où ils/elles en sont après 2-10-15, même 20 ans, m'enchante tout simplement.

Ajoutez à cela les groupes de discussion, les invitations de party, et les mille et une petites gogosses, tout ça dans un environnement que je trouve plus intéressant et plus facile d'accès que Myspace. Les amis de mes amis deviennent mes amis. En attendant que le spam rentre là dedans, c'est un agréable outil de networking, moi qui suis plutôt du genre nomade social. On sort d'un environnement, on se laisse emporter par le nouveau, notre nouvelle gang. Et parfois on se trouve un trou pour voir quelques uns des anciens, mais au bout de 20 ans sur le marché du travail, difficile de trouver un espace pour les centaine d'anciens.

Ils sont maintenant là, à portée de main. J'ai des nouvelles plus souvent et plus facilement qu'avec n'importe quoi d'autre.

Un beau joujou pour l'instant, et le virus semble se propager, il y a toujours de plus en plus de potes chaque jour et ça me plaît. 44 en genre une semaine, et ça continue. Les Zamehs.

En plus, il s'est créé de nombreux groupes de discussion fort intéressants. Reste à voir s'ils resteront en vie longtemps, mais ça brasse. Je me dois de garder mon sang froid parce que c'est comme partout, les perroquets du divin cube se font prophètes.


À suivre.

1 commentaire:

Renart Léveillé a dit...

Eh! oui! Je reviens à peine de lire la discussion sur le salaire minimum sur Facebook. Tu devrais concentrer ça et nous en faire profiter ici.